Une recherche singulière, au service de la société
Si la science ne connaît pas de frontière, notre institution attache une importance particulière à l’ancrage sociétal de la recherche qu’elle développe. Avec l’objectif de « faire de l’insularité une force et de transformer des risques potentiels en objets de recherche », l’Université de La Réunion s’est positionnée comme tête de pont sur divers champs scientifiques, notamment la préservation de la biodiversité, les changements globaux, la mixité des cultures, les flux migratoires, l’autonomie énergétique, la littérature et l’histoire de l’océan Indien, la pression démographique ou des sciences de l’éducation.
L’établissement, l’une des premières forces du territoire en matière de recherche, est doté pour ce faire de 22 unités de recherche, dont 12 équipes d’accueil et 9 unités mixtes de recherche (UMR). L’offre de formation s’est adossée à ces structures pour permettre aux apprenants de bénéficier d’une formation à la recherche, par la recherche. L’activité de recherche se concentre autour de 3 axes de recherche prioritaires :
- Biosécurité en milieu tropical (BioST)
- Observation des milieux naturels et changements globaux (OMNCG)
- Observatoire des sociétés de l’océan Indien (OSOI)
22 unités de recherche
dont 9 UMR (unités mixtes de recherche) en lien avec :
- Le centre national de la recherche scientifique (CNRS)
- Le centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (CIRAD)
- L’Institut national de la santé et de la recherche médicale (INSERM)
- L’Institut de recherche pour le développement (IRD)
- L’Institut français de recherche pour l’exploitation de la mer (IFREMER)
- L’Institut de physique du globe de Paris (IPGP)
- Météo France
Des plateformes de recherche et de développement de pointe
L’Université de La Réunion dispose de plateaux scientifiques et technologiques mutualisés de pointe dans le domaine de la santé (le, CYROI, seul cyclotron ultramarin), de la physique de l’atmosphère (avec l’observatoire atmosphérique du Maïdo), de la télédétection avec la station d’observation “surveillance environnementale assistée par satellite dans l’océan Indien (plateforme SEAS-OI), de la protection des plantes (Pôle de Protection des Plantes) ou encore des sciences de la terre (Observatoire Volcanologique du Piton de la Fournaise). Dernier né des plateaux techniques, créé conjoitement avec le Centre Hospitalier Universitaire de La Réunion, PLATIN-OI a pour vocation de répondre aux exigences légales et techniques de manipulation des pathogènes d’origine virale de classe 3. Enfin, le centre de calcul de l’établissement et les stations permanentes sur les écosystèmes complètent ces plateformes, devenues désormais des outils privilégiés du rayonnement et de l’internationalisation de la recherche à l’Université de La Réunion.
L’accompagnement des chercheurs : une priorité
La direction du soutien à la recherche, innovation, valorisation et partenariats (DRIVE) a pris ces dernières années un virage fondamental : celui d’allier à la fois l’appui à la gestion administrative et financière quotidienne des laboratoires, l’accompagnement des chercheurs dans la recherche de financements et la valorisation de leurs résultats, tout en assurant la promotion d’un ancrage territorial et sociétal fort de la recherche.
Elle regroupe plusieurs services couvrant une large palette de missions en soutien à la recherche de l’établissement.